Les 25 décembre et 1er janvier, les Carrières ouvriront exceptionnellement à 11h.
Parkings des Baux-de-Provence gratuits jusqu'au 24 décembre à partir de 16h.
Chagall
Songes d'une nuit d'été
Du 4 mars 2016 au 8 janvier 2017
Une réalisation Gianfranco Iannuzzi - Renato Gatto - Massimiliano Siccardi - avec la collaboration musicale de Luca Longobardi
Produit par Culturespaces, avec le concours du Comité Marc Chagall, cette exposition donne l’occasion de redécouvrir l’œuvre significative de Marc Chagall, artiste d’origine russe et de nationalité française, acquise en 1937.
Numérisés et projetés sur les 5000 m² des Carrières de Lumières avec des murs allant jusqu’à 14 mètres de hauteur, les chefs-d'œuvre les plus évocateurs de Chagall dialoguent avec le visiteur, pour une expérience novatrice, spectaculaire et particulièrement dynamique. Première monographie présentée aux Carrières de Lumières, cette nouvelle exposition multimédia est conçue comme un véritable voyage à travers les grandes étapes de la création de Marc Chagall.
Pour la première fois, des prises de vue de détails effectuées par les réalisateurs sur certaines œuvres qui figurent dans la collection du Musée national Marc Chagall à Nice ont permis au spectateur d’approcher l’œuvre de façon inédite et d’en percevoir toute la densité et la richesse expressive. Aux côtés de l’œuvre peinte, l'exposition a dévoilé collages, mosaïques et vitraux montrant ainsi l’ampleur des talents de l’artiste. L’ensemble inonde les Carrières d’une mer de couleurs vives et chatoyantes, caractéristiques du peintre, imprégnant le lieu d’une atmosphère poétique.
Le choix musical destiné à la bande-son du spectacle a été nourri des conseils du pianiste Mikhaïl Rudy, proche de Marc Chagall. Ainsi, musique et image se répondent dans un scénario faisant écho avec la monumentalité de l’espace. Les reproductions des œuvres d’art prennent vie sur le sol, les parois et les piliers des Carrières, qui se transforment alors en gigantesques cimaises. Grâce à un dispositif hors-norme composé de 100 vidéoprojecteurs et de 27 enceintes, le spectateur « entre dans l’œuvre » pour découvrir de nombreux détails insoupçonnés jusque-là inaccessibles.